Les ANDARA ne sont pas des cristaux au sens strict du terme mais du "verre" volcanique d'origine naturelle sans silice dont la structure atypique intrigue autant qu'elle fascine.
Ils ne relèvent pas d'un usage conventionnel, ni d'un système ésotérique figé. Leur présence agit davantage comme une interface, une passerelle entre les plans subtils de la conscience et la matière.
Ils ne guérissent pas, ne commandent rien et ne promettent pas de transformation instantanée.
Leur rôle est d'accompagner les mouvements intérieurs, d'amplifier certains états de clarté, de résonance ou d'alignement. Ils ne répondent ni à l'analyse mentale, ni à l'attente. Leur langage est celui de l'intuition, du ressenti profond, parfois même du silence.
Les ANDARA appellent certaines personnes sans explication rationnelle. Pour ces dernières, ils deviennent des partenaires/compagnons vibratoires, des catalyseurs de conscience, sans jamais se substituer à la responsabilité personnelle.
Ils ne sont pas à vénérer, ni à collectionner dans une quête de pouvoir spirituel... (attention à l'ego spirituel). Ils invitent plutôt à une forme d'épuration intérieure, à se délester de ce qui encombre. À travers eux, rien ne se prouve : tout se vit.
Ancrés dans la densité terrestre par leur matière mais ouverts sur des espaces de perception plus larges, les ANDARA incarnent ce point de jonction entre l'invisible et le tangible de cette matière. Ils portent la mémoire de la Terre autant que l'echo d'une conscience élargie.
Subtils et profondément enracinés, ils sont une cristallisation vivante de notre Terre, offerte à ceux qui savent encore écouter sans attentes.
Avec AMour et bienveillance,
Nathalie.