Il n'existe pas de terrain neutre : soit nous sommes les créateurs conscients de notre réalité, soit nous vivons en victimes d’un monde qui nous dépasse.
Cette affirmation, transmise par Seth à travers Jane Roberts, peut sembler radicale à première vue. Et pourtant, elle nous ouvre à une vision élargie de la vie. Non pas une idée mentale, mais une compréhension vibratoire : tout ce que nous vivons est en résonance avec ce que nous portons, consciemment ou non.
Seth ne parle pas d'un pouvoir du mental, mais d'un engagement plus profond, celui de l'âme. Même ce que nous croyons subir : pertes, accidents, maladies etc trouve son origine dans un accord intérieur. Non pas une punition, mais une exploration. Une invitation à expérimenter certaines fréquences, certains apprentissages ou simplement à traverser des transitions choisies d'avance.
Si nous refusons cela, alors nous plaçons notre vie dans un univers sans conscience, régi par le hasard. Cela reviendrait à dire que la complexité miraculeuse de notre corps est née d'un accident cosmique. Une absurdité au regard de l’intelligence vivante qui anime chaque cellule.
Tout a une raison ou rien n'en a. Et dans un univers de raison, il n'y a pas de véritables victimes. Il n'y a que des créateurs, parfois inconscients de leur propre pouvoir.
Choisir cette vision, c'est se replacer au centre. Non pas pour se juger mais pour se rappeler. Et commencer à créer, depuis un espace plus vaste, plus libre, plus vrai.
Nathalie / LaMagieDesAndaras.com
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