Individu et les évènements de masse : Seth

Individu et les évènements de masse : Seth

Extrait du livre de Jane Roberts : L’individu et les événements de masse
Seth : « Une épidémie, par exemple, sert les buts de tout individu qu’elle concerne, mais elle remplit aussi ses propres fonctions dans le cadre plus large de l’espèce. Quand vous considérez que les épidémies sont causées par des virus et que vous insistez sur leurs dimensions biologiques, les solutions paraissent alors être tout à fait évidentes: vous étudiez la nature de chaque virus, mettez au point un vaccin, puis administrez à [chaque membre de) la population une petite dose de cette maladie pour que le corps humain la combatte lui-même et devienne ainsi immunisé.

Du fait de leurs avantages à court terme, l’aspect limité de telles procédures vous échappe. En général, les personnes vaccinées contre la polio ne développent pas cette maladie, par exemple. En ayant recours à de telles pro-cédures, la tuberculose a été largement éradiquée.

Il y a cependant deux grandes variables insidieuses qui entrent en ligne de compte et qui ont précisément pour cause le cadre étroit dans lequel vous observez ce type d’épidémies.

Premièrement, les causes ne sont pas biologiques. La biologie est simplement le vecteur d’une « intention de mort».

Deuxiemement, il existe une différence entre un virus produit en laboratoire et celui présent dans le corps – une différence qui est perçue par le corps mais pas par vos instruments de laboratoire.

D’une certaine façon, le corps produit des anticorps et crée une immunité naturelle en réponse à une vaccination. Mais la chimie du corps se trouve aussi dans un état de confusion, car elle «sait» qu’elle réagit à un mal qui n’est pas une « vraie maladie», mais l’intrusion d’une contrefaçon biologique.

Dans cette mesure – et je ne souhaite pas exagérer -, l’intégrité biologique du corps est contaminée. Elle peut alors, par exemple, produire en même temps des anticorps pour d’autres maladies « similaires» et donc étendre inconsidérément ses défenses, à tel point que l’individu contracte par la suite une autre maladie.

Personne ne devient malade à moins que cette maladie ne serve une motivation psychique ou psycho-logique; par conséquent, beaucoup de gens échappent à ces complications.

Mais, dans le même temps, les chercheurs et le monde médical découvrent de plus en plus de virus contre lesquels la population « doit» être vaccinée. Chaque virus est étudié séparément. Il y a une course au développement de nouveaux vaccins contre les tout nouveaux virus.

Tout cela se fonde en grande partie sur la prédiction: les scientifiques «prédisent» combien de personnes risquent d’être « attaquées» par un virus qui a causé un certain nombre de morts. Alors, à titre de mesure préventive, la population est invitée à s’immuniser contre ce risque grâce à ce nouveau vaccin.

Beaucoup de gens qui de toute façon n’attraperaient pas cette maladie sont alors religieusement vaccinés. On force le corps à faire appel à son système immunitaire de la façon la plus intense et parfois, selon le vaccin, d’une manière bien plus étendue qu’il ne le faudrait.

Les individus qui ont psychologiquement opté pour la mort mourront dans tous les cas, que ce soit de cette maladie ou d’une autre, ou des effets secondaires de la vaccination ».

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